Même si cela est bien sûr impossible à mesurer, une intuition, un ressenti, des symptômes cycliques et des troubles sans explication médicale peuvent conduire à avoir besoin de rechercher l’origine d’une maladie.
De la même manière, des maux qui ne trouvent pas de soulagement dans les traitements médicamenteux peuvent trouver leur origine dans une somatisation.
Sans en être la cause, un choc émotionnel ou une émotion associée à une souffrance qu'on pense appartenir au passé peuvent être les facteurs déclenchant de maux physiques réels.
Ils permettent à une maladie ou une blessure de s’installer dans un organisme épuisé ou intoxiqué.
Comment une expérience douloureuse récente ou ancienne (deuil, séparation, violences, viol..) peut-elle être associée à l'apparition d'un trouble physique ?
Une émotion est une information véhiculée par une énergie qui a sa propre vibration.
L’énergie de l’amour, par exemple, a une haute fréquence.
Celles de la colère, de la rancœur, de la culpabilité, de la tristesse sont quant à elles des énergies de basses fréquences.
Il arrive qu’une émotion de basse fréquence détermine l’emplacement physique de la souffrance avec un blocage énergétique et le dysfonctionnement d’un organe en particulier.
En effet, chaque organe du corps humain vibre lui aussi avec une fréquence qui lui est propre.
Un organe peut vibrer moins fort qu'à la normal s'il est déjà affaibli par des antécédents personnels, des toxiques (mauvaise alimentation par exemple, tabagisme, alcool en excès…), des effets secondaires de médicaments, le stress…
Cet organe pourra alors être "la cible" d'une émotion de basse fréquence, qui sera attirée par sa fréquence basse elle aussi : c'est ce qu'on appelle la résonnance.
Quel rôle une émotion négative peut-elle jouer dans l'apparition d'une maladie ou d'une blessure ?
L'énergie de basse fréquence (telle que la tristesse, la colère, la culpabilité...) va commencer par bloquer la circulation énergétique dans cet organe, diminuant encore plus son champ vibratoire.
Du coup, une inflammation se produit, apportant un afflux de sang et, avec lui, des toxiques – polluants, métaux lourds, acides, radicaux libres – qui s’accumulent dans l’organe, induisant d’abord un dysfonctionnement, puis une maladie, qui peut aller jusqu'au cancer.
Si le blocage énergétique impacte une articulation (colonne vertébrale, genou, coude...), une gêne peut apparaître, sans qu'il n'y ait de raison mécanique (faux mouvement, sur-sollicitation), et aller jusqu'à une douleur générant une impotence fonctionnelle.
Sur quelle base de temps peut-on associer un évènement émotionnellement traumatisant avec l'apparition des premiers symptômes physiques ?
Le temps d’apparition de la maladie dépend essentiellement de la durée et/ ou de l’intensité de l’émotion. Votre force de caractère, vos obligations d'avancer (pour vous ou pour vos proches), votre difficulté à exprimer vos émotions sont d'autant "effets retardants".
Un choc particulièrement intense peut générer immédiatement une maladie, surtout si le corps physique est déjà particulièrement fragilisé. Il est alors facile de faire le lien entre les deux.
Mais un conflit ancien mal vécu, une expérience douloureuse qui n’a jamais été « digérée » malgré nos impressions d’avoir réussi à avancer et d’en être « guéri » peut également finir par déclencher des maux physiques (une maladie, une blessure qui nous immobilise et nous oblige à arrêter de vivre comme on le faisait…).
Quelle est l'intention du corps énergétique en nous faisant mal ?
Si une émotion de basse fréquence (colère, culpabilité, tristesse...) reste enfouie en vous, le corps va tenter d'exprimer cette émotion négative par des maux légers, ou des comportements que vous n'aimez pas mais que vous ne contrôlez pas (des réactions excessives ?).
Votre corps physique et/ou mental va chercher à vous faire comprendre que la blessure émotionnelle est toujours là, bien que vous ayez mis "un mouchoir dessus", ou des oeillères pour ne pas la voir.
Si vous ne l'écoutez pas, le blocage énergétique que provoque cette énergie de basse fréquence va perdurer, s'amplifier. Il va attirer à lui d’autres situations du même ordre (toujours par résonance).
Ce qui ne fait qu’empirer le problème, tant du point de vue énergétique que physique et mental...
La maladie ("mal-a-dit") ou la blessure immobilisante peut survenir des semaines, des mois, voire des années après l'évènement émotionnellement douloureux.
Votre corps va vous envoyer des signaux de plus en plus forts, jusqu'à vous forcer à l'écouter.
Vous aliter, vous immobiliser, vous obliger à arrêter de fuir dans l'action est le moyen qu'il peut finir par utiliser.
En y pensant, vous devriez faire le lien et voir tous les signaux que votre corps physique ou mental vous a envoyé pour tenter de vous faire comprendre que non, ce n'était pas "digéré" complètement...
Associations possibles de maux de dos avec des émotions refoulées
Que faire ???
Il est naturellement difficile d’en venir à accepter d’avoir mal, surtout quand les émotions négatives se mêlent à la fatigue.
Cela demande beaucoup d’énergie au corps de générer un symptôme et de l’entretenir, parfois durant plusieurs années. Il s’agit là d’une capacité extraordinaire qui, si elle est écoutée en conscience, livre sa raison d’être.
Il peut être salvateur de voir un symptôme comme le moyen qu’a trouvé votre corps pour vous obliger à vous confronter à une blessure émotionnelle que vous refusez de voir encore présente ou n’êtes pas en mesure de voir.
Donner un sens à sa maladie n’est pas une promesse de guérison à elle seule.
La médecine traditionnelle reste incontournable et indispensable.
L'approche énergétique en est un complément qui ne peut que favoriser la guérison.
Notre corps a trois dimensions :
- le corps physique ;
- le corps psychique ;
- le corps énergétique.
"Les maux du corps sont les mots de l'âme, ainsi on ne doit pas chercher à guérir le corps sans chercher à guérir l'âme" Platon 428-348 av. J.-C.
Identifier les blocages énergétiques, les lever et évacuer les énergies accumulées va aider le corps à mobiliser sa propre énergie d’auto-guérison.
Le Reïki peut grandement accompagner une guérison dans ce sens.
Il peut également réduire les effets secondaires de traitements médicamenteux.
Le Reïki peut aider à décrypter certaines croyances inscrites dans notre inconscient, qui ont généré des émotions négatives, puis une série de désordres, aboutissant à un trouble fonctionnel.
Ces croyances ont été élaborées lors d’expériences difficiles, – parfois impossibles à comprendre à l’âge auquel elles ont été vécues, souvent dans l’isolement – et sur lesquelles nous avons projeté des conclusions erronées (manque de confiance en soi, d’amour propre, nombreuses peurs, carapaces de protection…).
Il faut parfois être prêt à laisser ressortir des souvenirs douloureux, mais c'est un mal nécessaire pour votre bien : c'est ce que cherche à vous dire votre corps à travers le "mal-a-dit"....
Le Reïki permet aussi de prévenir (qui vaut mieux que de guérir !)
Questionnez-vous :
Avez-vous un endroit de votre corps qui est particulièrement sensible (la gorge par exemple avec des angines fréquentes, ou des brûlures d’estomac, des entorses de chevilles fréquentes, des faiblesses au niveau des genoux….) ?
Existe-t-il toujours des causes médicales ou mécaniques quand ces symptômes apparaissent ?
Cela ne pourrait-il pas être votre corps qui vous parle parce que vous n’arrivez pas à exprimer certaines choses, ou le faites mal ? ou parce qu’il y a des choses que vous n’arrivez pas à digérer ? Une partie de vous que vous n’acceptez pas ?
Si mes mots parlent à vos maux, ne voyez pas un hasard dans la lecture de cet article, et suivez votre intuition :